C’est une question qui, selon moi, doit être examinée aujourd’hui, car je suis convaincu que la seule réponse positive proviendrait d’un faux compte créé par le milliardaire lui-même (oui, nous savons tous qu’il est assez dérangé pour faire quelque chose comme ça). Cela dit, comme si les controverses qui ont suivi le rachat de Twitter ne suffisaient pas, voilà qu’un mangaka a décidé de réclamer un milliard de dollars pour avoir volé une de ses illustrations.
Elon Musk n’a pas non plus d’amis dans la communauté manga/anime.
Comme le rapporte l’équipe de Kotaku, cette situation très curieuse s’est développée comme suit :
- Dans le cadre d’une conversation sur Twitter, Elon Musk a essayé d’être drôle et moderne, comme en tant d’autres occasions, en répondant avec le mème iconique « Crying Aya Asagiri ». Cela a suscité des réactions, notamment de la part du créateur de cette œuvre d’art lui-même. ❗
- C’est ainsi que Kentaro Sato, l’homme à qui appartient le personnage, le panneau et tout le reste en général, a envoyé le message suivant : « Elon Musk, nouveau PDG de Twitter, a réutilisé mon image sur Twitter sans autorisation, alors donnez-moi un milliard de dollars pour le service ». ✔️
- Si comme moi vous ne connaissiez pas ce fait, le mème mythique qu’à un moment donné vous avez peut-être croisé fait partie du manga Magical Girl Site. En effet, par la main de Sato-sensei. ✔️
- Un détail qui me semble évident dans la situation est que ce mème est utilisé quotidiennement et que seul 1% (données clairement contrastées) doit en attribuer le mérite à Sato-sensei. Je n’ai donc aucun doute sur le fait que le fait qu’il ait revendiqué une telle chose à Elon Musk est simplement dû au fait qu’il ne l’aime pas. Et c’est normal. C’est pourquoi je doute que cela devienne quelque chose de plus que de l’ennuyer sur les médias sociaux. ❗
Eh bien, rien, encore un épisode Internet de « Tout le monde déteste Elon Musk », qui ferait bien une série télévisée, mais avec zéro comédie, que du drame. Honnêtement, je suis passé de l’indifférence la plus totale à l’agacement de savoir qu’il est derrière Twitter, une plateforme qui, pendant des années, m’a donné des ailes sur le plan social et professionnel. J’espère juste qu’il ne finira pas par la mettre en faillite.
